Mardi 2 janvier 2007 :
, Monsieur Xavier Bertrand qui est un professionnel de la politique[1], reconnaît dans sa grande mansuétude, que l’existence d’immeubles vides « semble choquante » au regard de la situation des personnes qui vivent dans la rue.
« La baleine » s’inquiète de la santé mentale des politiciens, ou de la qualité de leur monde, qui ne semble pas être le monde de monsieur et de madame « Tout le monde »…
Comment un homme politique avisé, peut-il s’exprimer avec autant de naïveté et d’impudeur ? C’est vrai que Monsieur Xavier Bertrand ne peut pas décemment dire : « bien sûre que je savais mais nous n’avons rien fait pour les sans-abri, ni pour les autres mal logés ». Pourtant…
[1] Monsieur Bertrant est député de l’Aisne depuis 2002, membre de la commission des finances, président du groupe d’études sur les professions libérales, Adjoint au maire de Saint-Quentin, ancien secrétaire d’état à l’assurance sociale
jeudi 15 février 2007
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