Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, dit "la racaille"

Mercredi 31 janvier 2007 :
Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa doit-il rester Ministre de l’Intérieur et candidat aux élections présidentielle ?
Monsieur Jaques Chirac était bien président de la République, en 2002, quand il s’est représenté. Messieurs Lionel Jospin et Edouard Balladur étaient bien premiers ministres, respectivement en 2002 et en 1995, quand ils se sont présentés. Monsieur François Mitterrand était bien président de la République en 1988, quand il s’est représenté. Alors, comme dirait Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, où est le problème ?
- 1er argument : Messieurs Chirac, Mitterrand, Balladur et Jospin participaient tous à un gouvernement de cohabitation. Mais peut-être que Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa pense-t-il qu’actuellement, lui aussi est en cohabitation avec Monsieur Jacques Chirac…
- 2ème argument : Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa est ministre de l’intérieur. C’est lui qui, à ce titre, dirige tout l’exécutif des élections présidentielles. Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa a, en quelque sorte, toutes les cartes en main, des élections où il est candidat. A ce titre, bénéficie t-il des mêmes conditions de campagne que Messieurs LePen, Besancenot, Bayrou, Bové, que Mesdames Laguillet, Lepage, Voynet ou Royal ? « La baleine sous le caillou » n’en est pas bien certaine…
- 3ème argument : Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, en tant que ministre de l’intérieur, semble bénéficier « d’outils » que n’ont pas ses adversaires politiques. Il s’avère que les services des RG, les renseignements généraux, s’occupent avec zèle des autres candidats et de leurs entourages, notamment auprès de Madame Ségolène Royal. Une première note a été faite au sujet de Monsieur Rebelle, membre du comité de campagne de la candidate. Une seconde note porterait sur le patrimoine du couple Royal/Hollande. Peut-être que les RG auraient encore « fiché » les riverains du QG de campagne de l’UMP, rue d’Enghein, dans un quartier populaire où logent de nombreux immigrés.

Comme à son habitude, Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa crie à l’infamie, à la calomnie, aux mensonges… Il ressemble de plus en plus aux gamins qui, quoi qu’ils fassent comme conneries, ne reconnaissent jamais leur responsabilité possible. A trois mois maintenant de l’élection présidentielle, tout cela fait un peu beaucoup de doutes, quand à la probité du pauvre Monsieur Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa.